C’était bien évident pourtant. Je n’avais juste jamais utilisé ces mots-là…
Cette semaine, on m’a contacté pour me demander de participer à une émission française. La recherchiste m’avait en fait ciblée comme étant « une excellente candidate pour recevoir des conseils d’experts sur la surcharge mentale ».
Mine de rien, me faire traiter de « surchargée mentale », ça m’a fait bondir au départ ! On ne se connaît même pas ! Vous lisez un peu mon blogue et me déclarez sans hésiter « surchargée chronique en phase terminale » ? C’est mon petit teint gris qui m’a dénoncé ? Ou mon allure un peu détraquée !
Puis, une fois le choc passé et mon petit orgueil réconforté, j’ai fait un constat bien obligé: Si la surcharge mentale, ça veut juste dire avoir trop de choses à penser, y’a pas de doute, je suis en surcharge ! Je surchauffe ! Je suis en surpoids cognitif. En obésité morbide des préoccupations. Mon IMC du cerveau n’est pas très optimiste. [Lire plus…]